En lisant cette histoire érotique vous constaterez que cette fille méritait sa fessée déculottée !

Contacté sur Fessestivites par une jeune femme âgée de 22 printemps pour des informations sur la certification des femmes seules, je prends un rendez-vous téléphonique pour le soir même à 18h30. En préalable, je regarde son profil pour la connaître un peu avant l'appel et voir quels conseils et éventuellement quelles astuces je peux lui donner.

Son profil ressemble bien celui d'une jeune femme, l'annonce est amusante et l'avatar est l'image d'un des jeux modernes en ligne sauf qu'il a un copyright.

Lors de l'entretien téléphonique à 18h30 précise, je me présente et résume sommairement l'objet de l'appel, vérifier son numéro de téléphone et que c'est bien une femme puis voir si je peux la guider sur le site et dans le réseau. Au fil de la conversation j'apprends qu'elle me connaît, enfin connaît TSM depuis longtemps et qu'elle a découvert mon profil il y a quelques années sur mon blog. "Je n'étais pas majeure que déjà vous hantiez mes nuits".

Cette petite jeunette me gênait un peu car elle n'arrêtait pas de me taquiner. J'apprécie que très moyennement quand la conversation professionnelle m'échappe et encore moins de la façon dont elle s'y prenait, un peu comme si elle voulait me faire culpabiliser. La jouvencelle me pose quelques questions sur la façon de rechercher les membres et de "trier" les vrais des faux célibataires et les mecs cherchant des "cul à fesser" avant de les "bais...." (C'étaient ses mots)

Je lui donne donc quelques astuces en fonction de sa demande puis reviens sur son avatar sous copyright en lui demandant de le changer.

• Si je ne le fais pas, j'aurai droit à une fessée ?

En fait, Clovis me cherchait, elle n'arrêtait pas de me provoquer, pour bien clarifier la situation, je lui indique que si ma soumise me parlait ainsi, elle aurait du mal à s'asseoir. Mon but était tout simplement de lui faire comprendre que je ne suis pas en recherche et que j'ai ce qu'il me faut à la maison.

• J'hésite à le retirer pour tester vos fessées ! Me répond Clovis toujours aussi taquine, limite ennuyeuse car je ne décris là qu'une infime partie de ses provocations.

Je lui parle ensuite des pique-niques gratuits de rencontres en lui assurant qu'elle ne risquait rien à y participer puisque je suis le garant de la sécurité et de la tranquillité des femmes seules. Comme elle indiquait Paris sur son profil, je lui explique qu'elle pourra planter sa tente dans le jardin si elle désire éviter les frais d'un hôtel.

• Je préfère faire l'aller retour ! Me répond Clovis.

• ????

• Bon, ok, j'ai mentis sur la ville quand je me suis inscrite, au début je suis juste passée voir le site, en fait, je suis à une demi-heure de chez vous. Je subodore que cela mérite une fessée ?

• Je confirme et si vous venez à un des pique-niques cet été, je me ferai un plaisir de vous faire regretter vos provocations.

• Pourquoi attendre, je ne suis qu'à une demi-heure de chez vous !

• Provoquez, provoquez tant que vous êtes chez vous, nous verrons cet été si vous osez venir !

• Vous vous dégonflez ?

Oh putain con ! La main me démangeait grave. (Désolé du vocabulaire mais je vous laisse imaginer...)

• Chiche que vous venez de suite !

• Chiche, donnez-moi l'adresse et la promesse que cela ne sera qu'une fessée et je viens !

.......................................

Moins d'une heure plus tard, un petit bout de femme haut comme trois pommes pénètre dans le jardin avec une Clio Sport. Lors de son demi-tour, elle fait la mariole et laboure mon gravier.

Ne rentre pas dans son jeu, reste calme TSM, reste calme ai-je pensé.

Clovis est réellement un petit bout de femme mais une très jolie brune aux yeux d'un bleu profond qui attire les regards. Aussi petite soit-elle, sa vitalité est époustouflante tout comme son charisme et sa beauté. Pour ne pas rentrer totalement dans son jeu, je reste sur le vouvoiement qui entretient la distance en la guidant vers la maison. Je reviens immédiatement sur ses fautes et ses mensonges : mineure sur un blog d'adulte, mauvaise indication géographique, photos sous copyright et multiples provocations. La belle semble à fond dans la logique spanking car elle met ses mains derrière son dos et baisse la tête comme une mauvaise élève.

Je prends donc place sur une chaise, (solide nous en avons cassées plusieurs VERIDIQUE) et l'attire sur mes genoux. Elle s'y allonge comme si nous nous connaissions et se cale toute seule peinarde ! ! !

"Attend la belle, je vais te faire chanter, dans un moment tu feras moins la fière" est une idée qui m'est passée par la tête" je l'avoue.

Sa jupe d'été prestement levée me dévoile un charmant fessier couvert d'une culotte blanche et rouge assez sage. Comme l'on ne se connaît pas, je ne la baisse pas et commence à lui donner une fessée modérée en terme de puissance. L'absence de réaction me permet de penser que je peux appuyer un peu mes claques. Là, elle commence à bouger mais très légèrement et sans se plaindre. J'ose donc baisser sa culotte pour reprendre la fessée mais cette fois en appuyant un légèrement plus.

• Comme nous ne nous connaissons pas, il vous suffira de dire "merci Monsieur" pour que j'arrête. Suis-je clair ?

• Oui Monsieur mais vous rêvez ! Me répond la chipie.

Oh putain con !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Comme dit la chanson, si tu veux de la série noire, tu vas être servie.

Et là, je n'ai plus du tout contenu la puissance des claques que je retenais depuis l'entretien téléphonique et son arrivée. Son adorable petit fessier prit rapidement de la couleur et commençait à virer au rouge vif mais la belle se refusait à me dire "Merci Monsieur" pour que j'arrête.

Bien décidé à la faire plier, je suis donc passé à la réelle fessée punitive. Elle s'est débattue, a mis la main pour protéger ses fesses, main que j'ai aussitôt saisie en lui bloquant les jambes avec la mienne. Je n'en pouvais plus mais je l'ai eue. Non mais !

Le "Merci Monsieur" obtenu, je l'ai relevée et collée au piquet avec les mains sur la tête et sa jupe relevée pour que ses fesses rouges soient bien visibles. Pour me remettre, je me suis servi un bocal de pastis, (j'exagère un peu) et je lui ai servi un coca que j'ai posé sur la table basse du salon. Clovis n'avais pas bougé et quand je lui ai demandé de baisser les bras, de remonter la culotte qu'elle avait encore à ses pieds puis de venir boire son coca, la couleur rouge de ses yeux m'a permis de comprendre qu'elle avait du lutter avant de demander grâce.

• Un petit câlin consolateur après ta punition ?

• Ouiiiii ! A répondu Clovis en fondant en larmes.

Lovée dans mes bras et sur mes genoux, la belle en larmes me mettait un peu mal à l'aise car je me demandais si je n'étais pas aller un peu loin, malgré le fait, qu'elle pouvait interrompre sa fessée quand elle le désirait avec deux mots.

Mon naturel "papounet" m'a poussé à la consoler et la bercer en lui caressant les cheveux et la figure comme si c'était une petite fille. Lorsque je lui ai demandé si cela allait bien, elle m'a répondu "oui" aussitôt suivi d'un "merci Monsieur" qui m'a rassuré.

Son coca bu presque d'un trait Clovis m'a indiqué qu'elle devait rentrer, je l'ai donc raccompagnée à sa voiture que cette fois, elle a manoeuvrée sans labourer mon parking.

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Quelques jours après le facteur me remet une enveloppe provenant du Palais de justice. Je l’ouvre et découvre stupéfait qu’une dénommé Clovis xxxx portait plainte contre moi pour agression physique et mon site. J'étais furieux de chez furieux !

Vers midi le téléphone sonna.

• Désolée pour vous mais j’ai porté plainte !

• J'ai du mal à comprendre, il ne s'est rien passé entre nous ! Ai-je répondu au cas où la conversation serait écoutée. Je vous ai juste certifiée.

• Ah ? Le siège de ma voiture était très inconfortable lorsque je suis partie de chez vous !

• Désolé mademoiselle mais je ne comprends pas !

• C'est logique, tout est faux, je n'ai absolument pas porté plainte, je travaille au tribunal et j'ai tapé une lettre juste pour vous faire une blague.

• Putain con, tu m'as fait peur et crois-moi, là tu mérites une sévère fessée !

• Je sais, je peux passer la prendre ce soir ?

• Non, en guise de punition il va se passer deux choses. La première tu me feras 100 lignes de : Je ne dois pas faire de mauvaise blague à TSM ! Ces lignes doivent me parvenir par la poste, à réception je t'appellerai pour ta fessée.

• Vous êtes dur Monsieur.

• Ce n'est pas discutable !

• Bien monsieur.

EPILOGUE

Cette histoire est une pure fiction, Clovis n'existe pas, c'est un prénom au hasard.

Hormis cela, le reste est réel, la certification tout comme la réserve du fesseur respectueux.

J'avoue m'être bien amusé à écrire cette histoire.

TSM

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